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    1. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 августа 1854 г.
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    2. Lettre à M. le docteur Gustave Kolb, rédacteur de la "Gazette Universelle" (Письмо доктору Густаву Кольбу, редактору «Всеобщей газеты» - Россия и Германия)
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    3. Тютчев Ф. И. - Пфеффелю К., 12/24 ноября 1850 г.
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    1. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 августа 1854 г.
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    Часть текста: d'avoir entre toi et mоi - le foyer d'épidémie à Moscou 1 . C'est abominable, c'est infâme, c'est tout bonnement intolérable. Et ne suffit-il donc pour mа pauvre imagination malade de l'inconnu de l'absence, avec ses mille chances plus ou moins funestes, et fallaitil encore у ajouter cette brutale certitude d'un danger de tous les instants. Dix fois par jour toute sorte de gens viennent par manière de conversation mе raconter des nouvelles vraies ou fausses des ravages de la maladie à Moscou, et ces brutes ne se doutent seulement pas du mаl qu'elles mе font avec leurs récits. Car enfin, puisque la maladie а acquis cette intensité à Moscou, qui n'est qu'à 400 v de chez vous - elle pourrait bien aussi à l'heure qu'il est s'être encore rapprochée davantage et avoir gagné tout le pays intermédiaire... Dans de pareilles circonstances et à cette distance tout conseil, toute exhortation serait inutile. Mais enfin, mа chatte, si tu as, je ne dis pas quelque affection, ...
    2. Lettre à M. le docteur Gustave Kolb, rédacteur de la "Gazette Universelle" (Письмо доктору Густаву Кольбу, редактору «Всеобщей газеты» - Россия и Германия)
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    Часть текста: avez accompagnées, m’ont suggéré une singulière idée. Que serait-ce, monsieur, si nous essayions de nous entendre sur le fond même de la question? Je n’ai pas l’honneur de vous connaître personnellement. En vous écrivant c’est donc à la «Gazette Universelle d’Augsbourg» que je m’adresse. Or, dans l’état actuel de l’Allemagne, la «Gazette d’Augsbourg» est quelque chose de plus, à mes yeux, qu’un journal. C’est la première de ses tribunes politiques… Si l’Allemagne avait le bonheur d’être une , son gouvernement pourrait à plusieurs égards adopter ce journal pour l’organe légitime de sa pensée. Voilà pourquoi je m’adresse à vous. Je suis Russe, ainsi que j’ai déjà eu l’honneur de vous le dire, Russe de cœur et d’âme, profondément dévoué à mon pays, en paix avec mon gouvernement et, de plus, tout à fait indépendant par ma position. C’est donc une opinion russe, mais libre et parfaitement désintéressée , que j’essayerai d’exprimer ici… Cette lettre, comprenez-moi bien, s’adresse plus encore à vous, monsieur, qu’au public. Toutefois vous pouvez en faire tel usage qu’il vous plaira. La publicité m’est indifférente. Je n’ai pas plus de raisons de l’éviter que de la rechercher… Et ne craignez pas, monsieur, qu’en ma qualité de Russe, je m’engage à mon tour dans la pitoyable polémique qu’a soulevée...
    3. Тютчев Ф. И. - Пфеффелю К., 12/24 ноября 1850 г.
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    Часть текста: et le Roi l’ignorait si peu, qu’il lui écrivait encore dernièrement dans une lettre toute confidentielle et toute bienveillante, qu’il ne lui en voulait nullement de cette divergence d’opinions; que le seul dissentiment dans leur manière de voir qui lui fût pénible, à lui, Roi de Prusse, c’était que Mr de Rochow ne partageait point à l’égard du grand Radowitz la haute opinion qu’il avait de celui-ci. Et l’auguste correspondant ajoutait en propres termes que Radowitz était tout bonnement un grand homme méconnu, tout comme l’avait été avant lui Christophe Colomb avant la découverte de l’Amérique. J’ignore si à l’heure qu’il est le Roi de Prusse croit encore aussi fermement à la mission qu’avait Radowitz de découvrir ce nouveau monde dont il est en quête, mais il est certain que le langage dont il a chargé Rochow d’être l’interprète auprès de l’Empereur, témoigne des dispositions les plus conciliantes et les plus amicales. Il est allé même jusqu’à lui faire dire que bien qu’il fût décidé, dans le cas où ces dispositions n’aboutiraient pas, de défendre vigoureusement l’honneur du nom prussien contre toute attaque de quelque part qu’elle vint, néanmoins le jour où il verrait l’Empereur Nicolas se ranger au nombre de ses...