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    1. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 февраля 1853 г.
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    2. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 15 августа 1867 г.
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    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., 2/14 июля 1840 г.
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    4. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., 1/13 декабря 1839 г.
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    5. Lettre sur la censure en Russie (Письмо о цензуре в России)
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    1. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 февраля 1853 г.
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    Часть текста: m'irrite autant pour le moins que cela m'afflige. Cela rentre pour moi dans la catégorie des accidents malencontreux, d'autant plus irritants qu'ils semblent si parfaitement gratuits. Tu comprends donc quel effet m'a dû faire une phrase d'une de tes dernières lettres où tu me parles du contentement que j'ai dû éprouver à mon retour à P<étersbourg> 1 de me trouver replacé dans mes habltudes 2 avec le sentiment d'une bonne action accomplie derrière moi, et cette bonne action, c'est d'avoir été te voir... Et je n'exécrerais pas un état de choses qui te démoralise au point d'avoir de pareilles idées... Car de ta part toute parole а sa valeur. J'ai bafoué, comme elle le méritait, la stupide proposition de faire arriver ici Кitty avant vous. Je n'ai pas besoin de t'expliquer que се qui m'a le plus irrité dans cette proposition, се n'est pas се qu'elle а d'absurde en elle-même, mais се bête de parti pris de...
    2. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 15 августа 1867 г.
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    Часть текста: question à t’adresser: ma fille Anna, ne vois-tu rien venir? 1* — Cependant, comme il est possible que tu sois encore sur pieds et lesefähig , c’est à toi que j’adresse ces quelques lignes. Je voudrais bien pouvoir me flatter que ma rentrée précipitée à Pétersbourg n’a pas été inutile à vos intérêts, et qu’elle a réussi à conjurer la menace d’un second avertissement, suspendue sur la Москва . Mais je voudrais surtout vous faire sentir au vrai et au vif la position, telle qu’elle est, ce qui certes n’est pas facile, car elle est absurde d’outre en outre. Ainsi, p ex , l’excellent Похвиснев, ainsi que le gérant actuel du Ministère le P e Лобанов, dans les pourparlers que j’ai eus avec eux à mon retour, se sont plaints à moi, non sans quelque tristesse, du souci que leur donnait la Москва par l’impétuosité de ses allures agressives qui leur paraissait de nature à mettre leur responsabilité à...
    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., 2/14 июля 1840 г.
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    Часть текста: écrite aussitôt après votre arrivée à Ovstoug. Elle m’a fait grand plaisir. J’avais bien besoin d’avoir de vos nouvelles, car le long silence joint à l’incertitude où j’étais sur l’endroit où vous vous trouviez ne laissait pas de m’inquiéter. Merci encore une fois de votre lettre, ainsi que de l’envoi de la lettre de change y compris le cadeau de maman pour sa petite filleule qui se porte à charme ainsi que ses sœurs. Toutes les quatre, à part ce nombre, réussissent assez bien pour me faire éprouver dès à présent même beaucoup de satisfaction à les avoir. Je reconnais bien volontiers que je dois en grande partie ce résultat à l’influence de ma femme qui a pris pour elle seule toute la partie des soins et du tracas pour ne me laisser que le plaisir de leur possession. Ce qui me rend particulièrement heureux, c’est de voir que les enfants se sont attachés à elle, plus qu’ils ne l’ont jamais été à personne. Je voudrais bien que vous connaissiez ma femme. Vous l’aimeriez à coup sûr. On ne saurait imaginer une nature meilleure, plus affectueuse et plus vraie. Nous sommes établis ici depuis bientôt six semaines, mais jusqu’à présent l’horrible temps qu’il n’a cessé de faire nous a singulièrement gâté l’agrément du séjour. Nous n’avons pas eu depuis notre arrivée deux jours de suite sans pluie et à l’heure qu’il est nous sommes...
    4. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., 1/13 декабря 1839 г.
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    Часть текста: de vous écrire. Ne m’en voulez pas et surtout n’attribuez pas à de la paresse cette impossibilité d’écrire. Ce que c’est je n’en sais rien. Toutefois, ne soyez pas en peine de moi. Car j’ai, pour veiller sur moi, le d<évoue>ment [13] de l’être, le meilleur que Dieu ait jamais fait. Ce que je vous dis, ce n’est pas une exagération. Ce n’est que justice. Je ne vous parle pas de son affection pour moi. Vous-même trouveriez peut-être qu’il y a de l’excès. Mais ce dont je ne puis assez me louer et la remercier, c’est de la tendresse et de ses soucis pour les enfants. Pour eux, la perte qu’ils ont faite est presque réparée. Nous les avons pris chez nous, aussitôt arrivés à Munich 2 , et quinze jours après les enfants lui étaient attachés comme s’ils n’avaient jamais eu d’autre mère. Moi aussi, je n’ai jamais vu de nature plus sympathique aux enfants que la sienne. Oui, c’est une bien noble et bien excellente nature et je la recommande vivement à votre amitié. Pour les détails je vous renvoie à sa lettre. Nous sommes venus ici à la fin de septembre. Notre intention avait été d’aller passer cet hiver à Pétersb , mais l’état de Nesty s’étant tout à fait déclaré vers cette époque 3 , nous avons été obligés de renoncer à ce projet. Mais, comme je vous l’ai dit, ce n’est qu’une partie remise jusqu’au printemps prochain. A mon arrivée ici, j’ai écrit <à> C te de Nesselrode pour me...
    5. Lettre sur la censure en Russie (Письмо о цензуре в России)
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    Часть текста: Mais c’est précisément pour être mieux à même de le faire que je crois devoir, avant toute chose, m’expliquer franchement vis-à-vis de vous sur ma manière d’envisager la question. Il ne s’agit pas ici, bien entendu, de faire une profession de foi politique. Ce serait une puérilité: de nos jours, en fait d’opinions politiques, tous les gens raisonnables sont à peu près du même avis; on ne diffère les uns des autres que par le plus ou le moins d’intelligence que l’on apporte à bien reconnaître ce qui est et à bien apprécier ce qui devrait être. C’est sur le plus ou le moins de vérité qui se trouve dans ces appréciations qu’il s’agirait avant tout de s’entendre. Car s’il est vrai (comme vous l’avez dit, mon prince) qu’un esprit pratique ne saurait vouloir dans une situation donnée que ce qui est réalisable en égard aux personnes, il est tout aussi vrai qu’il serait peu digne d’un esprit réellement pratique de vouloir une chose quelconque en dehors des conditions naturelles de son existence. Mais, venons au fait. S’il est une vérité, parmi beaucoup d’autres, qui soit sortie, entourée d’une grande évidence, de la sévère expérience des dernières années, c’est assurément celle-ci: il nous a été rudement prouvé qu’on ne saurait imposer aux intelligences une contrainte, une compression trop absolue, trop prolongée, sans qu’il en résulte des dommages graves pour l’organisme social tout entier. Il paraît que tout...