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    Cлово "SERONS"


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    1. 3аписка (на французском)
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    2. Тютчев Ф. И. - Тютчеву Н. И., 4/16 сентября 1844 г.
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    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 сентября/7 октября 1842 г.
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    4. Тютчев Ф. И. - Плетневой А. В., 7/19 июля 1870 г.
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    5. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 16 августа 1866 г.
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    6. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 20 августа 1846 г.
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    7. Тютчев Ф. И. - Тютчевой А. Ф., июль 1844 г.
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    8. Lettre sur la censure en Russie (Письмо о цензуре в России)
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    9. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 21 июня/3 июля 1847 г.
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    1. 3аписка (на французском)
    Входимость: 3. Размер: 38кб.
    Часть текста: de celle de l’Europe et de la notre propre. L’une est la conséquence de l’autre. Dans l’ordre moral, une société, une civilisation qui a son principe en elle-même, ne saurait être comprise des autres qu’autant qu’elle se comprend elle-même: la Russie est un monde qui commence à peine à avoir la conscience de son principe. Or, c’est la conscience de son principe qui constitue pour un pays sa légitimité historique. Le jour où la Russie aura pleinement reconnu le sien, elle l’aura de fait imposé au monde. En effet de quoi s’agit-il entre l’Occident et nous? Est-ce de bonne foi que l’Occident a l’air de se méprendre sur ce que nous sommes? Est-ce sérieusement qu’il prétend ignorer nos titres historiques? — Avant que l’Europe occidentale ne se fût constituée, nous existions déjà et certes nous existions glorieusement. Toute la différence c’est qu’alors on nous appelait l’Empire d’Orient, l’Eglise d’Orient; ce que nous étions alors, nous le sommes encore. Qu’est-ce que l’Empire d’Orient? C’est la transmission légitime et directe du pouvoir suprême du pouvoir des Césars. C’est la souveraineté pleine et entière, ne relevant pas, n’émanant pas, comme les pouvoirs de l’Occident, d’une autorité extérieure quelle...
    2. Тютчев Ф. И. - Тютчеву Н. И., 4/16 сентября 1844 г.
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    Часть текста: Ф. И. - Тютчеву Н. И., 4/16 сентября 1844 г. Тютчеву Н. И., 4/16 сентября 1844 99. Н. И. ТЮТЧЕВУ 4/16 сентября 1844 г. Мюнхен Рукой Эрн. Ф. Тютчевой: Munich. Ce 16 septembre 1844 Cher frère, Nous avons heureusement accompli notre retour en Allemagne et demain nous nous remettrons en route pour nous rendre auprès de vous. Nous serons à Stettin le 26 de ce mois, et le 28 nous nous embarquerons, selon toute probabilité. Nous serons donc à Pétersbourg dans les tous premiers jours du mois prochain, et nous nous prions de nous y adresser vos indications pour ce que nous aurons à faire ensuite. Nous voudrions ne rester à Pétersbourg que le moins de temps possible, afin de nous caser pour l’hiver avant la mauvaise saison et puis aussi pour éviter la dépense à l’auberge que nous occasionnerait un séjour dans cette ville. Vous devez penser que tous nos voyages 1 n’ont pas contribué à remettre les affaires en ordre, et celui que nous allons entreprendre n’est pas de nature à porter remède au mal déjà existant. Au revoir, mon cher frère, je me réjouis immensément de nous revoir et j’espère trouver de vos nouvelles à notre arrivée à Pétersbourg. Toute à vous de cœur E. Tutchef Рукой Тютчева: Oui, mon cher ami, c’est demain que nous nous lançons. Je vous avoue que ce n’est pas sans une certaine appréhension que je m’envisage ce voyage… La saison est...
    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 25 сентября/7 октября 1842 г.
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    Часть текста: dans leur logement avant le 18 ou le 20. Je ne lui ai accordé de répit que jusqu’au 16. Mais je prévois que ce jour-là il n’y aura encore rien de fait, et il serait désagréable de devoir recourir à la police pour hâter leur déménagement. La Méjanne m’a parlé d’une bonne Française qui pourrait, à ce qu’elle croit, nous convenir. Cette personne a servi chez Mr de Z<нрзб>, et le certificat qu’il lui a délivré est conçu dans les termes les plus affectueux et les plus favorables. On la recommande comme un trésor à toute famille qui pourrait avoir besoin d’une bonne, j’étais tenté de t’envoyer ce document, mais cela aurait nécessité une enveloppe dont la confection — comme dirait ton frère — excéderait la mesure de mon savoir-faire. Qu’il te suffise de savoir que c’est le nec plus ultra de la recommandation. Dans tous les cas je verrai la personne et je te dirai l’impression qu’elle aura produit sur moi. Hier soir il y avait grand lever chez la Casimire. C’était toute la menue diplomatie au milieu de laquelle elle était à se pamant d’aise et s’épuisant de paroles. C’était du enfin sans fin. Elle m’a dit que tu as dû passer la soirée d’hier chez la Dettlingen. Si la Yrsch 1 en était, j’estime que tu dois avoir à l’heure qu’il est les oreilles en sang et la tête percée de part en part. Les préparatifs de fête 2 se poursuivent à travers toute sorte de nouvelles contradictions. Mais ce que paraît certain c’est que beaucoup de personnes manqueront à l’appel. Mad. de Sévérine n’y vient...
    4. Тютчев Ф. И. - Плетневой А. В., 7/19 июля 1870 г.
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    Часть текста: Ems, je n’aurais pu résister à la tentation d’aller vous y chercher. Mais depuis votre départ, je n’ai pas eu, comme je devais m’y attendre, le moindre signe de vie de vous… Mais si par hasard ces lignes avaient la chance de parvenir jusqu’à vous, donnez-moi ce signe de vie, en me l’adressant à Carlsbad où je vais demain 1* . — Encore quelques jours, et nous serons en plein cataclysme 2* . Dieu vous garde tout spécialement. Ф. Тютчев Перевод: Берлин. 7/19 июля 1870 Где вы, и если вы еще в Эмсе , каково вам будет в гуще этой чудовищной каши, которая сейчас заваривается? Если бы я знал точно, что вы в Эмсе, я не устоял бы перед искушением помчаться к вам туда. Но с момента вашего отъезда я, как и следовало ожидать, не получил от вас ни строчки… Но если по счастливой случайности мое письмецо найдет вас, черкните мне эту строчку, адресовав ее в Карлсбад, куда я еду завтра 1* . — Еще несколько...
    5. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 16 августа 1866 г.
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    Часть текста: les raisons alléguées dans ta lettre, dans l’espoir de te voir lui arriver… Quant à moi, je tiens surtout à vous voir, et il m’est assez indifférent que ce soit ici ou là… 1* Je ne te parlerai pas pour le moment de l’état de Daria 2* , c’est un sujet sur lequel nous avons tout dit et qui est trop affligeant, p admettre le rabâchage… J’ai vu hier son médecin Krassofsky qui prétend en dernier lieu avoir constaté une amélioration réelle — mais tous les médecins qui l’ont traitée se sont laissé aller aux mêmes illusions. Le seul symptôme, à mon avis, réellement consolant, mais qui est tout moral, c’est que maintenant son humeur est devenue plus sociable et qu’elle tient de plus en plus, p ex , à la présence de Kitty, au lieu de s’en trouver fatiguée, comme autrefois. Revenons à toi. Je souffre beaucoup de l’état de gêne, où je vous sais, et du peu de chances qui s’offrent pour le moment de vous voir sortir de cette impasse. Cela me fait doublement regretter les difficultés qui entravent jusqu’à présent la réussite du projet du journal en question, dont la réalisation aurait à tous les points de vue été si désirable… 3* aussi bien au matériel, comme au moral. En effet, je comprends, combien ton mari doit souffrir de n’avoir pas, dans les circonstances données, la parole sur les questions du jour, et jamais l’opinion qu’il représente n’a fait plus défaut qu’en ce moment-ci dans le concert de la presse… La crise du monde...
    6. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 20 августа 1846 г.
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    Часть текста: 20 августа 1846 г. Москва Mardi. Ce 20 août 1846 Ma chatte chérie, enfin après bien des délais et des hésitations sans nombre nous sommes, je crois, sur le point de partir pour la campagne. Encore un peu, et j’allais y renoncer… Mais sais-tu ce qui m’a décidé? Voilà plusieurs jours que je n’ai plus de lettres de toi, et d’après ce que tu me dis dans ta dernière, j’ai beau de croire que j’en trouverai à Briansk . C’est donc ta lettre que je vais y chercher. Nous passons par Kalouga, et je pense bien que j’y verrai Mad. Smirnoff soit à présent, soit en y repassant à mon retour, à moins que dans le moment même où je forme, elle ne soit de sa personne allée me chercher à Pétersb . On fait toujours bien de comptes sur des pareils contretemps, si l’on veut s’épargner du désappointement. En vérité, je ne sais trop dans quel but je vais faire le voyage en question. Dans tous les cas ce n’est pas dans l’intérêt des affaires, car j’ai appris ici que le partage du bien ne pourra guères être mis à exécution avant neuf à dix mois, et c’est ici, à Moscou, que cette affaire se fera. Ce n’est donc que par pure amitié et complaisance pour mon frère que je m’y détermine. Ce pauvre garçon est au fond si malheureux de son isolement et le sort sous ce rapport, comme pour beaucoup d’autres, m’a accordé tant d’avantages sur lui que je me serais reproché, comme un manque de générosité, de ne pas acquiescer à l’extrême désir qu’il avait que je l’accompagne dans ce voyage. Vous voyez bien, ma chatte chérie, que c’est...
    7. Тютчев Ф. И. - Тютчевой А. Ф., июль 1844 г.
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    Часть текста: Anna. J’ai reçu il y a quelques jours ta lettre qui, je le t’avoue, m’a fait jusque autant de peine que de plaisir. Tu voilà donc bien malheureuse, bien désespérée d’être dans ce même Institut où tu désirais entrer avec tant d’ardeur, où tu es entrée avec tant de jubilations 1 . Souviens-toi, je t’en prie, des instances, des supplications, des persécutions que tu m’as fait subir pour me décider à te retirer de Weimar et à te réunir à tes sœurs. Et maintenant tu serais toute disposée à recommencer toute cette même agitation en sens inverse. Ne prends pas ce que je te dis ici pour un reproche, ma bonne amie, il n’est pas dans ma nature d’être un juge sévère des inconséquences d’autrui. Le souvenir de mes propres inconséquences suffirait pour me rendre indulgent, et d’ailleurs tu sais, si je suis naturellement disposé à l’indulgence envers toi. Si donc je te rappelle tes contradictions, c’est pour venir en aide à ta...
    8. Lettre sur la censure en Russie (Письмо о цензуре в России)
    Входимость: 1. Размер: 29кб.
    Часть текста: nos jours, en fait d’opinions politiques, tous les gens raisonnables sont à peu près du même avis; on ne diffère les uns des autres que par le plus ou le moins d’intelligence que l’on apporte à bien reconnaître ce qui est et à bien apprécier ce qui devrait être. C’est sur le plus ou le moins de vérité qui se trouve dans ces appréciations qu’il s’agirait avant tout de s’entendre. Car s’il est vrai (comme vous l’avez dit, mon prince) qu’un esprit pratique ne saurait vouloir dans une situation donnée que ce qui est réalisable en égard aux personnes, il est tout aussi vrai qu’il serait peu digne d’un esprit réellement pratique de vouloir une chose quelconque en dehors des conditions naturelles de son existence. Mais, venons au fait. S’il est une vérité, parmi beaucoup d’autres, qui soit sortie, entourée d’une grande évidence, de la sévère expérience des dernières années, c’est assurément celle-ci: il nous a été rudement prouvé qu’on ne saurait imposer aux intelligences une contrainte, une compression trop absolue, trop prolongée, sans qu’il en résulte des dommages graves pour l’organisme social tout entier. Il paraît que tout affaiblissement, toute diminution notable de la vie intellectuelle dans une société tourne nécessairement au profit des appétits matériels et des instincts sordidement égoïstes. Le Pouvoir lui-même n’échappe pas à la longue aux inconvénients d’un pareil...
    9. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 21 июня/3 июля 1847 г.
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    Часть текста: continu de Stettin à Zürich. J’en porterai avec moi, toutes les dépenses payées, au-delà de 1000 r arg . Que je m’en veux et que je me détracte d’avoir permis que tu le dépouillasses ainsi à mon profit, ton dévouement me consterne et m’épouvante. Je viens d’écrire à Nicolas pour lui recommander de la manière la plus pressante de t’aller voir coûte que coûte à Hapsal. Mais ce Hapsal! C’est donc une insigne sottise que nous avons fait là. La description que tu m’en fais dans ta lettre m’a fait venir la chair de poule. Et c’est dans un pareil chenil que tu vas te confiner pour deux mois, tandis qu’avec l’argent que ce stupide séjour te coûtera, tu aurais fort bien pu, comme nous nous en sommes assurés, avoir une très jolie maison de campagne soit aux îles, soit à Pavlovsk. Mais il faut que les bons soient bien efficaces pour me combler d’une pareille sottise. Et tandis que toi, tu vas te morfondre ainsi, moi bêtement je me donne les apparences d’aller courir l’Europe pour mon plaisir. Et personne ne se doute de ce que c’est pour moi que la séparation. Tu comprends, je suppose, pourquoi j’ai accepté Zürich. C’était une expiation, cela fera du moins que le voyage, tout bête qu’il est, ne coûtera pas une ruine. Maintenant je ne m’arrêterai guères ni à Stettin, ni...