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    Cлово "TORTURE"


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    1. Тютчев Ф. И. - Богдановой Е. К., 25 октября 1867 г.
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    2. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 31 августа 1851 г.
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    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 9 июля 1851 г.
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    4. Тютчев Ф. И. - Сушковой Д. И., 20 сентября 1851 г.
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    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Д. Ф., 8/20 сентября 1864 г.
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    1. Тютчев Ф. И. - Богдановой Е. К., 25 октября 1867 г.
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    Часть текста: — je crains de me rassurer trop tôt… D’ailleurs je n’ai pas encore vu Anna. Je suis censé n’arriver que ce matin. Hier, comme elle insistait pour avoir de mes nouvelles, on lui a dit, pour essayer ses forces, qu’on venait de recevoir un télégramme de Dmitry, annonçant que j’étais parti. Aussitôt elle s’est mise à pleurer. Ce qui m’a engagé à ajourner mon apparition jusqu’à ce matin… Les détails, que m’a donnés Aksakoff sur ces 80 heures de torture, sont horribles 1* . Je vous les épargne… Et si elle en est sortie vivante, c’est grâce à son incroyable énergie morale, et il faut bien le dire aussi, grâce à son exaltation religieuse. Car c’est par là qu’elle a dominé, qu’elle a refoulé la douleur, la révolte intérieure de n’avoir tant souffert, que pour mettre au monde qu’un cadavre… En pareille conjoncture il faut bénir, pour ne pas maudire, — et la moindre irritation, si elle s’y était laissé aller, l’aurait bien certainement tuée. — Mais encore une fois, je suis loin de chanter victoire…...
    2. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 31 августа 1851 г.
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    Часть текста: ТЮТЧЕВОЙ 31 августа 1851 г. Петербург St. -Pétersbourg. Vendredi. 31 août Ма chatte chérie. Voici une lettre de ton frère, que je t’achemine à Ovstoug, dans l’idée qu’elle t’y trouvera encore. Mais j’aimerais bien que се soit la dernière lettre qui ait chance de t’y trouver encore. Hier, jeudi, jour de la St-Alexandre 1 , je suis allé voir les petites à Smolna, et là - grâce, probablement, à une certaine arrivée 2 , métamorphose complète. La Léontieff, redevenue pour les enfants plus charmante que jamais... Еllе est venue à moi, toute épanouie et toute radieuse,- me disant que je devais m’estimer blen heureux d’avoir de si ravissantes filles (textuel), que c’est dans се sens qu’elle venait d’en écrire à S M l’Impératrice, à qui elle а eu blen soin de dire, que non seulement elle - mais toute la communauté...
    3. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 9 июля 1851 г.
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    Часть текста: à ta présence. - Comme je comprends le Roi Saül et le besoin qu’il avait de la musique de David... 2 Ainsi, dans се moment p ex , je me dis bien, que puisque je ne puis aller à Ovstoug que pour une quinzaine de jours, il у aurait folie à le faire, tant à cause de ma santé qu’à cause de la dépense... Et cependant l’idée que c’est moi qui volontairement et par un acte réfléchi de sa volonté me décide à ajourner de plusieurs semaines le moment de te revoir, cette idée me paraît monstrueuse, et une pareille détermination contrarie tellement l’irrésistible penchant de mon cœur, cette Voix sainte, qui me paraît être un avertissement du Ciel, qu’il me semble que si j’avais le malheur de lui désobéir par quelque pusillanime calcul de convenance personnelle ou d’économie, j’attirerais sur moi un châtiment mérité, et que je sens, dans mes mauvais moments, comme suspendu sur ma tête... Tout cela, me diras-tu, n’est que de la maladie, je le sais bien, mais qui est-ce qui me dira que le propre de cette maladie се ne soit pas d’aiguiser dans l’homme cette faculté qui lui fait pressentir l’avcnir. J’ai beau chercher à me rassurer par toute sorte de banalités les plus évidcmment raisonnables. Rien ne rassure cette angoisse qui s’empare de moi, aussitôt que j’ai cessé de te voir. Et cependant, je sais fort bien, que si je cédais à cette inspiration, pour prix d’un soulagement momentané, je n’aurais fait qu’ajouter à l’irrésistiЬie ascendant de la maladie... La...
    4. Тютчев Ф. И. - Сушковой Д. И., 20 сентября 1851 г.
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    Часть текста: et me la rende, et je n’aurai plus rien à lui demander... Bonjour, ma chère amie. Ce que je viens d’écrire est bien inutile, car ce n’est pas la réponse à ces lignes qui décidera de moi... Ah, que c’est une horrible chose que de pareilles appréhensions! T. T. Nicolas est parti le 11 2 . Перевод: <Петербург.> Четверг, 20 сентября <1851> Любезная Дашенька, я страшно встревожен. Последняя почта не доставила мне никакого известия из Овстуга. Это случается впервые... Немыслимо, чтобы без какой-либо важной причины моя жена пропустила почтовый день, не написав мне. — Это невозможно. — Не могу сказать, какой пытке я подвергаюсь с прошлого вторника... Если ничего не случилось... если они выехали 13-го, как предполагали, они должны были приехать 17-го — и тогда я могу получить сегодня известие о их прибытии 1 . Ах, какая мука!.. Я ненавижу себя за то, что создан таким, так же как ненавижу других за то, что они созданы иначе... Да сохранит и да возвратит мне ее Господь, и мне больше нечего будет просить у него... Прости, любезный друг. То, что я только что написал, весьма бесцельно, ибо не ответ на эти строки разрешит мою тревогу... Ах, что́ за ужасная вещь подобные опасения! Ф. Т. Николушка уехал 11-го 2 . Примечания Слева вверху надпись рукой Д. И. Сушковой: «Voici quelques mots qui doivent vous revenir, chère amie» («Вот несколько слов, которые должны быть приятны вам, моя дорогая»). Эта надпись свидетельствует, что Сушкова переслала письмо ...
    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Д. Ф., 8/20 сентября 1864 г.
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    Часть текста: encore dans mon oreille et que jamais, jamais je n’entendrai plus… 1* Merci, ma fille, merci de m’avoir parlé de cette voix-là… Ce qui m’a aussi profondément touché dans ce que tu me dis, c’est la coïncidence de nos pensées… Car au moment où tu m’écrivais que tu attends avec impatience que je te dise que tu pouvais m’être bonne à quelque chose , moi, je me disais dans mon for intérieur, je l’ai dit même à Anna, que si quelque chose pouvait me ranimer, me donner au moins une illusion de vie, ce serait de me conserver, de me dévouer à toi, ma pauvre enfant chérie, — à toi, si aimante et si seule, — à toi, si peu raisonnable en apparence et si profondément vraie, — à qui j’ai transmis peut-être, par héritage, cette terrible faculté sans nom qui rompt tout équilibre dans la vie, cette soif d’affection — que pour toi, ma pauvre enfant, rien n’est venu étancher… Ah, oui, si je pouvais — à défaut de mieux et en attendant mieux — être pour quelque chose dans ta vie, te donner le change, au moins, sur le vide, sur le néant de ton existence, — eh bien, cela me tirerait peut-être aussi de cette torpeur désespérée où me voilà, et qui me prive même de la faculté de trouver des paroles pour l’exprimer. — En un mot, ce que je voudrais, ma fille, c’est que ce débris de vie, d’âme et de cœur, qui me reste et qui n’est plus bon à rien, te soit bon à quelque chose… Dieu me garde d’être ingrat, mais si quelqu’un pouvait se douter de mon état — torpeur ou torture...