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    Cлово "AIMEE"


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    1. * * * ("Il faut qu’une porte... ")
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    2. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 1/13 сентября 1841 г.
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    3. Тютчев Ф. И. - Козловскому П. Б., 16/28 декабря 1824 г.
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    4. Тютчев Ф. И. - Георгиевским А. И. и М. А., 6/18 октября 1864 г.
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    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 13/25 июня 1843 г.
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    6. Un rêve
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    7. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Е. Л., 4 ноября 1846 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. * * * ("Il faut qu’une porte... ")
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    Часть текста: m’embêtez, ma bien-aimée, Et que le diable vous emporte. Перевод * * * Или откройте дверь, Иль тут же затворите, А, может быть, запритесь изнутри. Ах, милая, что там не говорите — 5 Вы мной играете и… черт Вас побери! (Перевод В. А. Кострова) Примечания Автограф — РГАЛИ. Ф. 505. Оп. 1. Ед. хр. 34. Л. 1. Первая публикация — Тютчевиана. С. 16. Затем — Чулков II. С. 262. Печатается по автографу. Написанные с прописных букв слова (une Porte, ma Bien-aimée, le Diable) приведены в соответствие с современной французской орфографией. Автограф карандашом на небольшом клочке желтоватой бумаги, неровно оборванном в нижней части. Знаки препинания отсутствуют. В первой публикации указана дата: ноябрь — декабрь 1856. У Г. И. Чулкова повторена предположительная дата первой публикации. К. В. Пигарев в примечаниях отметил: «датируется ноябрем 1856 г.» (с. 419). А. А. Николаев также указал дату: ноябрь 1856. Датируется ноябрем 1856 г. Написано от имени второй дочери поэта от первого брака Дарьи (1834—1903), которую одна дама высшего света в Петербурге уговаривала принять участие в любительском спектакле по комедии-пословице Альфреда де Мюссе «Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée» («Нужно, чтобы дверь была или открыта, или закрыта»...
    2. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 1/13 сентября 1841 г.
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    Часть текста: A l’exception d’un tremblement de terre il n’y a sorte d’accidents que je n’aie resté pour toi… J’ai vu ta voiture versée je ne sais combien de fois. Quelle imprudence de se séparer et comme on en est puni par l’inquiétude… Les Maltitz m’ont paru heureux de me revoir. Ils sont montés ici sur un fort bon pied. Leur logement provoquerait plus que jamais la surprise naïvement impertinente de Sévérine. Clotilde m’a lu une lettre de la Krüdener qui contenait, contre mon attente, des choses très tendres et flattantes pour toi. Celle-ci entr’autres que si j’allais à Pétersb avec l’intention d’en repartir bientôt, je devais bien me garder de t’y amener. «Car, — dit la lettre, — si on y voyait Nesty (t’attendais-tu à être Nesty pour la Kr<üdener>), elle y plairait tant qu’on ne voudrait jamais la laisser repartir». Ceci est probablement un écho des discours de la Gr -Duchesse 1 . J’ai trouvé ici une lettre de mes parents pour toi que je te renvoie. Je ne l’ai pas lue encore, je la lirai quand j’aurai fini celle-ci. Weimar est joli, riant, mais bien solitaire. C’est une jolie petite ville de campagne. Le pauvre M est terriblement blessé sur ses charmes. Il m’a mené cet...
    3. Тютчев Ф. И. - Козловскому П. Б., 16/28 декабря 1824 г.
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    Часть текста: bien sincère que je vous ai voué. Vous savez, mon Prince, qu’un attachement vrai a une certaine valeur intrinsèque, indépendante, pour ainsi dire, de la personne qui l’éprouve, et vous ne sauriez guères douter du mien, si toutefois vous daignez encore vous en souvenir. Il y a certainement bien peu d’hommes dans les sentiments desquels on puisse avoir une confiance assez grande, pour oser croire, qu’après une séparation de deux ans et en dépit de tous les changements que le temps doit nécessairement amener, on en soit avec eux au même degré d’affection, où on les a quittés. Une telle confiance, j’ose le dire, est un véritable hommage. On ne la doit qu’à Dieu et à ces belles âmes qui (n’en déplaise à la doctrine du droit divin) sont ses seuls représentants avoués sur notre pauvre terre 1 . Vous me pardonnerez assurément, mon Prince, de vous entretenir ainsi de la bienveillance dont vous m’avez jadis honoré. On pardonne bien aux femmes de rappeler avec délices le temps où elles étaient jeunes, c<’est>-à-d où elles étaient aimées. Eh bien, votre présence à Munich a été l’âge d’or de mon séjour dans cette ville. Je...
    4. Тютчев Ф. И. - Георгиевским А. И. и М. А., 6/18 октября 1864 г.
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    Часть текста: 6/18 октября 1864 г. Женева Женева. 6/18 октября 1864 Друг мой, милый друг мой Александр Иваныч… Уверять ли мне вас, что с той минуты, как я посадил вас в вагон в Петерб<урге> 1* , — не было дня, не было часу во дне, чтобы мысль о вас покидала меня… Так вы тесно связаны с памятью о ней, а память ее — это то, что чувство голода в голодном, ненасытимо голодном. Не живется, мой друг Александр Иваныч, не живется… Гноится рана, не заживает… Будь это малодушие, будь это бессилие, мне все равно. Только при ней и для ней я был личностью, только в ее любви, в ее беспредельной ко мне любви я сознавал себя… Теперь я что-то бессмысленно живущее, какое-то живое, мучительное ничтожество… Может быть и то, что в некоторые годы природа в человеке теряет свою целительную силу, что жизнь утрачивает способность возродиться, возобновиться. Все это может быть, но, поверьте мне, друг мой Александр Иваныч, тот только в состоянии оценить мое положение, кому — из тысяч одному — выпала страшная доля...
    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Эрн. Ф., 13/25 июня 1843 г.
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    Часть текста: J’aurai bien le soin de recommander ici qu’on me la transmette à Varsovie, mais m’y trouvera-t-elle? Si bien que maintenant je pourrais rester des 3 et 4 semaines sans avoir de tes nouvelles, car dès à présent c’est à Moscou qu’il faudra que tu m’adresses tes lettres. A Moscou… Eh bien, ma chatte, commences-tu maintenant à croire à l’absence? Quant à moi, j’en suis pénétré… Il me semble qu’il y a six mois que je t’ai quitté… et cependant avant-hier, le 11, il y a eu juste un mois, que nous lisions, le soir, dans le grand salon quelques pages de Jocelin 1 . Te souviens-tu de cette soirée? Ah oui, je dois l’avouer, l’absence me réussit mal, les objets qui m’entourent, loin de me distraire par leur nouveauté, ne font que m’attrister. Ils s’interposent comme un mur entre moi et cette vie aimée que j’ai quittée et qui recule tellement dans le lointain, qu’il me semble impossible que jamais je parvienne à la ressaisir. Quant à toi, tu me fais l’effet d’un être fantastique impossible. Je me demande si je suis bien le même homme qui il y a quelques jours encore s’appelait le bon loup, le vieux chien, etc. etc., qui était l’objet d’une préoccupation constante, d’une si affectueuse sollicitude. Décidément c’était un rêve et ce qui le prouve, c’est qu’il était si doux. Allons, un peu de raison pour l’amour de Dieu, car si cette disposition d’esprit allait prendre le dessus, que deviendrai-je à Moscou, que je sentirai la distance croître entre nous, croître par centaines de lieues, et la...
    6. Un rêve
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    Часть текста: faire au déclin de l’année? Le vent d’hiver a brûlé le gazon, la fleur n’est plus et la feuille est fanée, Rien de vivant dans la morte saison...» Et consultant d’une main bien-aimée De votre herbier maint doux et cher feuillet. Vous réveillez dans sa couche embaumée Tout un Passé d’amour qui sommeillait... Tout un Passé de jeunesse et de vie, Tout un Passé qui ne peut s’oublier... Et dont la cendre un moment recueillie Reluit encore dans ce fidèle herbier... Vous y cherchez quelque débris de tige — Et tout à coup vous y trouvez deux fleurs... Et dans ma main par un secret prodige Vous les voyez reprendre leurs couleurs. C’étaient deux fleurs: l’une et l’autre était belle, D’un rouge vif, d’un éclat peu commun... La rose brille et l’oeillet étincelle, Tous deux baignés de flamme et de parfum... Et maintenant de ce mystère étrange Vous voudriez reconnaître le sens... Pourquoi faut-il vous l’expliquer, cher ange?.. Vous insistez. En bien soit, j’y consens. Lorsqu’une fleur, ce frêle et doux prestige, Perd ses couleurs, languit et se flétrit, Que du brasier on approche sa tige, La pauvre fleur aussitôt refleurit... Et c’est ainsi que toujours s’accomplissent Au jour fatal et rêves et destins... Quand dans nos coeurs les souvenirs pâlissent, La Mort les fait refleurir dans ses mains... Перевод МЕЧТА Ну что подаришь на исходе года? Все вымерло: листва, цветы, трава, Лишь ветра свист и холод небосвода — Нет признака, что жизнь еще жива. 5 Но ты на стол гербарий свой положишь, И под рукой цветы очнутся вновь, И в памяти, и в сердце растревожишь В...
    7. Тютчев Ф. И. - Тютчевой Е. Л., 4 ноября 1846 г.
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    Часть текста: de Dorothée et à l’amitié des tantes et de la cousine Zavalichine à qui je voulais écrire par Anna, mais ce sera pour une autre fois. Pour le moment c’est Anna que je charge du soin de lui parler de l’amitié que je lui porte. C’est elle aussi qui vous donnera tout le menu détail des nouvelles qui nous concernent. Adieu, chère maman. Conservez-vous et ne vous laissez pas, pour l’amour du Ciel, trop aller à votre chagrin. Laissez-moi compter sur le bonheur de vous revoir au printemps. Adieu, je baise vos chères mains. T. T. Любезнейшему Ник<олаю> В<асильевичу> искренне родственный поклон. Все наши общие знакомые, кн<язь> Вяземский, Соллогуб и пр. и пр. поручили мне ему кланяться. Что его московская драма? 1 Перевод С. -Петербург. 4 ноября 1846 Любезнейшая маминька, вот вам Анна. Я знаю, что мне нечего поручать ее вашей нежности, которою она уже вполне обладает. Пусть ее присутствие послужит вам хоть некоторым утешением. Вы не сомневаетесь в том, что мне очень хотелось бы присоединиться к ней… Анна — доброе дитя, она вам понравится. Она очень ко мне привязана, и мне трудно было бы расстаться с ней даже на короткое время, если бы этим я не имел в виду доставить ей счастье видеть вас и чувствовать себя любимой вами… Да хранит ее милосердный Бог и да пошлет ей благополучную дорогу к вам. Поручаю ее приязни Дашиньки и расположению тетушек и кузины Завалишиной, которой я хотел написать с Анной, но отложил это до...