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    Cлово "TACT"


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    1. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 20 сентября 1867 г.
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    2. А. С. Долгорукой
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    3. Lettre à M. le docteur Gustave Kolb, rédacteur de la "Gazette Universelle" (Письмо доктору Густаву Кольбу, редактору «Всеобщей газеты» - Россия и Германия)
    Входимость: 1. Размер: 54кб.
    4. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н., Е. Л. и Эл. Ф., 13/25 декабря 1837 г.
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    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., между 12 и 16 октября 1844 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Тютчев Ф. И. - Аксаковой А. Ф., 20 сентября 1867 г.
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    Часть текста: à mes inquiétudes habituelles. Mais enfin hier j’ai reçu par voie extraordinaire votre lettre du 15–17, et le son de votre voix a quelque peu contribué à me rassurer. — Et moi aussi je consens à l’ajournement et ne demande pas mieux que de voir ta grossesse rentrer, à ce prix, dans les conditions normales… Ce serait un souci de moins, et Dieu sait que je pourrai, sans trop m’appauvrir, en diminuer quelque peu la quantité… Tes craintes à toi au sujet du journal me paraissent mal fondées. Je n’ai rien appris ni remarqué ici qui fût de nature à les justifier… D’ailleurs ton mari aura trouvé, je suppose, l’occasion de parler avec Похвиснев , et vous savez maintenant à quoi vous en tenir. Il est certain que dans la confusion, qui règne ici, toutes les méprises sont possibles. Mais c’en serait, néanmoins, une bien forte que de mettre hors la loi une gazette qui n’a d’autre tort que de défendre avec trop d’énergie les tendances, officiellement avouées du gouvernement. J’envoie ci-joint à ton mari, non pas assurément en vue d’une publicité quelconque, mais pour son édification...
    2. А. С. Долгорукой
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    Часть текста: («Если бы я обладала поэтическим даром, я написала бы вам что-нибудь в духе прелестного стихотворения, которое мой отец посвятил Алек<сандрине> Долг<орукой>» — перевод с фр. Т. Г. Динесман). Далее идет четверостишие. В первой публикации слова «irrésistible et pur» прочитаны как « de tact pur». Уточнение внесено М. К. Тюнькиной. Александра Сергеевна Долгорукая (1836—1913?) — из древнего княжеского рода. Отец, Сергей Алексеевич Долгорукий, (1809—1891) был тайным советником, статс-секретарем, членом Гос. совета (с 1871 г.). Мать, Марья Александровна, урожденная Апраксина (1816—1892). С 1852 г. Александра Долгорукая вместе со старшей дочерью Тютчева Анной была фрейлиной цесаревны Марии Александровны, жены будущего царя Александра II. Александре было 18 лет, когда Тютчев написал эти стихи. В основе поэтического образа лежат ее реальные черты. Анна Федоровна отмечала в своем дневнике «непреодолимое обаяние» Александры, ее «ум и изящество», а также удивительную «загадочность» ее характера. Приезжая к дочери, Тютчев неоднократно встречал Долгорукую: «На первый взгляд, эта девушка, высокого роста, худая, развинченная, несколько сутуловатая, с свинцово-бледным лицом, бесцветными и стеклянными глазами, смотревшими из-под тяжелых век, производила впечатление отталкивающего безобразия» ( При дворе-1. С. 91—92). Поэт мог неоднократно наблюдать, как она совершенно преображалась, оживляясь «под ...
    3. Lettre à M. le docteur Gustave Kolb, rédacteur de la "Gazette Universelle" (Письмо доктору Густаву Кольбу, редактору «Всеобщей газеты» - Россия и Германия)
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    Часть текста: singulière idée. Que serait-ce, monsieur, si nous essayions de nous entendre sur le fond même de la question? Je n’ai pas l’honneur de vous connaître personnellement. En vous écrivant c’est donc à la «Gazette Universelle d’Augsbourg» que je m’adresse. Or, dans l’état actuel de l’Allemagne, la «Gazette d’Augsbourg» est quelque chose de plus, à mes yeux, qu’un journal. C’est la première de ses tribunes politiques… Si l’Allemagne avait le bonheur d’être une , son gouvernement pourrait à plusieurs égards adopter ce journal pour l’organe légitime de sa pensée. Voilà pourquoi je m’adresse à vous. Je suis Russe, ainsi que j’ai déjà eu l’honneur de vous le dire, Russe de cœur et d’âme, profondément dévoué à mon pays, en paix avec mon gouvernement et, de plus, tout à fait indépendant par ma position. C’est donc une opinion russe, mais libre et parfaitement désintéressée , que j’essayerai d’exprimer ici… Cette lettre, comprenez-moi bien, s’adresse plus encore à vous, monsieur, qu’au public. Toutefois ...
    4. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н., Е. Л. и Эл. Ф., 13/25 декабря 1837 г.
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    Часть текста: Л. и Эл. Ф., 13/25 декабря 1837 40. И. Н., Е. Л. и Эл. Ф. ТЮТЧЕВЫМ 13/25 декабря 1837 г. Турин С Новым годом поздравляю! Ce 13/25 décembre 1837 Ces distances sont vraiment accablantes. Voici devant moi votre lettre du 16/28 novembre qui n’est qu’une réponse à la première que je vous ai écrite à mon arrivée ici. Eh bien, cette lettre, je ne l’ai reçue qu’avant-hier. Deux mois entiers pour que la parole parvienne d’un interlocuteur à l’autre. Comme c’est fait pour animer la conversation. Cependant en dépit de l’énormité de la distance, je ne conçois rien à la lenteur de vos lettres, votre dernière est restée 25 jours en chemin, tandis que la gazette de Pétersb nous arrive ici deux fois par semaine, le 17 ème jour. Quant à la correspondance de ma femme, c’est encore pis. Je vois par sa lettre de 16/28 nov bre incluse dans la vôtre, qu’à cette époque elle n’avait pas encore reçu un seul des cinq ou six — non pas lettres — mais volumes que je lui ai écrites d’ici et que lui ai adressées par la voie de l’Ambassade de France, ainsi qu’elle-même me l’avait recommandé. Je ne puis supposer que ces lettres ne lui soient pas parvenues. Il me tarde beaucoup toutefois d’être complètement rassuré à ce sujet. En attendant, veuillez-lui...
    5. Тютчев Ф. И. - Тютчевым И. Н. и Е. Л., между 12 и 16 октября 1844 г.
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    Часть текста: de mes intérêts que je veux une bonne fois faire violence à mes habitudes. Je veux en un mot savoir à quoi m’en tenir sur les chances qu’on prétend que j’ai ici. Vous dire ce que c’est, serait trop long et exigerait des écritures infinies. Je verrai le C te N demain ou après-demain. Beaucoup de personnes ici me témoignent un zèle pour mes intérêts, dont j’aurais tout lieu d’être satisfait, s’il était aussi efficace qu’il est sincère. Ce sont particulièrement Вяземский, les frères Wielhorsky 2 , etc. qui tous insistent pour que je rentre au service. Pour mon compte, je ne demande pas mieux. Mais je ne puis ni ne veux le faire qu’à certaines conditions. Quant à la société, elle continue toujours à nous faire fort aimable, et je ne puis m’empêcher d’être surpris de la quantité de connaissances que j’avais ici pour m’en douter. Tout cela serait assez agréable sans l’horrible cherté du séjour qui est telle que si j’étais obligé de passer une quinzaine de jours ici, je prendrai le parti de quitter l’hôtel Coulon pour aller chercher un gîte moins ruineux. Nous avons reçu ces jours-ci une lettre de Nicolas qui écrit à ma femme qu’il ne quittera Ovstoug que quand il nous saura à Moscou. Quant à Dorothée, j’en ai des nouvelles grâce à ses excellentes amies les P esses Шаховской 3 qui sont nos plus proches voisines. Elles viennent nous voir souvent, je n’ai pas besoin de dire à Dorothée qu’en son honneur et gloire nous nous adorons...