Поиск по творчеству и критике
Cлово "INTER"
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Часть текста: de ce monde. La profonde et irréconciliable scission qui travaille depuis des siècles l’Occident, devait trouver enfin son expression suprême, elle devait pénétrer jusqu’à la racine de l’arbre. Or, c’est un titre de gloire que personne ne contestera à Rome: elle est encore de nos jours, comme elle l’a toujours été, la racine du monde occidental. Il est douteux toutefois, malgré la vive préoccupation que cette question suscite, qu’on se soit rendu un compte exact de tout ce qu’elle contient. Ce qui contribue probablement à donner le change sur la nature et sur la portée de la question telle qu’elle vient de se poser, c’est d’abord la fausse analogie de ce que nous avons vu arriver à Rome avec certains antécédents de ses révolutions antérieures; c’est aussi la solidarité très réelle qui rattache le mouvement actuel de Rome au mouvement général de la révolution européenne. Toutes ces circonstances accessoires, qui paraissent expliquer au premier abord la question romaine, ne servent en réalité qu’à en dissimuler la profondeur. Non, certes, ce n’est pas là une question comme une autre — car non seulement elle touche à tout dans l’Occident, mais on peut même dire qu’elle le déborde. On ne serait assurément pas accusé de soutenir un paradoxe ou d’avancer une calomnie en affirmant qu’à l’heure qu’il est, tout ce qui reste encore de Christianisme positif à l’Occident, se rattache, soit explicitement, soit par des affinités plus ou moins avouées, au...
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Часть текста: L’accueil que vous avez fait dernièrement à quelques observations que j’ai pris la liberté de vous adresser, ainsi que le commentaire modéré et raisonnable dont vous les avez accompagnées, m’ont suggéré une singulière idée. Que serait-ce, monsieur, si nous essayions de nous entendre sur le fond même de la question? Je n’ai pas l’honneur de vous connaître personnellement. En vous écrivant c’est donc à la «Gazette Universelle d’Augsbourg» que je m’adresse. Or, dans l’état actuel de l’Allemagne, la «Gazette d’Augsbourg» est quelque chose de plus, à mes yeux, qu’un journal. C’est la première de ses tribunes politiques… Si l’Allemagne avait le bonheur d’être une , son gouvernement pourrait à plusieurs égards adopter ce journal pour l’organe légitime de sa pensée. Voilà pourquoi je m’adresse à vous. Je suis Russe, ainsi que j’ai déjà eu l’honneur de vous le dire, Russe de cœur et d’âme, profondément dévoué à mon pays, en paix avec mon gouvernement et, de plus, tout à fait indépendant par ma position. C’est donc une opinion russe, mais libre et parfaitement...
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Часть текста: Соларо, сообщая мне о прибытии Его Высочества Великого Князя Наследника в Италию и о его намерении провести здесь некоторое время, сказал, что Король, его повелитель, будет польщен, если Его Императорское Высочество решится провести зиму либо в Ницце, либо в каком-нибудь другом городе на Средиземноморском побережье, расположенном в пределах Сардинского королевства. Ничто не могло бы сравниться, заверил меня господин делла Маргерита, с радостью, которую испытал бы в этом случае Король; Его Величество был бы поистине счастлив, получив, благодаря подобному предпочтению, право со всем радушием принять от имени Италии Августейшего путешественника. Граф Соларо сообщил мне также, что графу Росси поручено было довести это пожелание Короля до сведения Государя Императора и в то же время выразить, сколь бесконечно дорожит Король надеждой, что при всех обстоятельствах Его Высочество Великий Князь посетит Его Королевское Величество в Турине прежде, нежели покинет пределы Италии» 12* . Далее Тютчев передает сообщение графа Соларо о признательности, которую вызвало в Турине известие о дружественном приеме, оказанном императором графу Карло Росси, новому посланнику Сардинии в Петербурге: «Его письмо, сказал мне господин Соларо,...
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Часть текста: outrage aussi indignement, en les dénaturant. Qu’un parti, enneminé de tout ce qu’il y a de bon et d’honorable dans la nature de l’homme, ait cherché par tous les moyens possibles, per fas et nefas, par la force et l’astuce, par la foi des traités et la mauvaise foi à perdre, à assassiner la malheureuse Grèce, cela se conçoit, puisque c’était dans ses intérêts, et qu’on sait de reste que l’intérêt, le plus vil, le plus sordide intérêt, est la seule règle, le seul mobile de ce parti. Mais que déjoué dans ses calculs, paralysé dans ses projets par une Puissance Supérieure, l’assassin, désespérant de venir à bout de sa victime, veuille à présent se faire passer pour son protecteur, sauf à faire passer le protecteur véritable pour l’assassin — voilà qui est trop fort 2 . Et l’opinion publique se manquerait à elle même, si par ses organes avoués elle ne repoussait de toute l’énergie de son indignation un semblable outrage, fait à la décence publique 3 . Agréez, Monsieur, l’assurance de la considération tr<ès> distinguée de v tr<ès> humble et tr<ès> ob<éissant> serv Tutchef. Перевод Мюнхен. 1-ое февраля Милостивый государь, Вы, конечно, заметили в двух последних номерах «Allgemeine Zeitung» 1 возмутительную статью, извлеченную из «Journal de...
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Часть текста: les lieux communs de la polémique quotidienne, on y trouve cette idée: «La Russie tient une place énorme dans le monde et cependant elle ne représente que la force matérielle, rien que cela». Voilà le véritable grief, tous les autres sont accessoires ou imaginaires. Comment est née cette idée et quelle en est la valeur? Elle est le produit d’une double ignorance: de celle de l’Europe et de la notre propre. L’une est la conséquence de l’autre. Dans l’ordre moral, une société, une civilisation qui a son principe en elle-même, ne saurait être comprise des autres qu’autant qu’elle se comprend elle-même: la Russie est un monde qui commence à peine à avoir la conscience de son principe. Or, c’est la conscience de son principe qui constitue pour un pays sa légitimité historique. Le jour où la Russie aura pleinement reconnu le sien, elle l’aura de fait imposé au monde. En effet de quoi s’agit-il entre l’Occident et nous? Est-ce de bonne foi que l’Occident a l’air de se méprendre sur ce que nous sommes? Est-ce sérieusement qu’il prétend ignorer nos titres historiques? — Avant que l’Europe occidentale ne se fût constituée, nous existions déjà et certes nous existions glorieusement. Toute la différence...
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Часть текста: franchement vis-à-vis de vous sur ma manière d’envisager la question. Il ne s’agit pas ici, bien entendu, de faire une profession de foi politique. Ce serait une puérilité: de nos jours, en fait d’opinions politiques, tous les gens raisonnables sont à peu près du même avis; on ne diffère les uns des autres que par le plus ou le moins d’intelligence que l’on apporte à bien reconnaître ce qui est et à bien apprécier ce qui devrait être. C’est sur le plus ou le moins de vérité qui se trouve dans ces appréciations qu’il s’agirait avant tout de s’entendre. Car s’il est vrai (comme vous l’avez dit, mon prince) qu’un esprit pratique ne saurait vouloir dans une situation donnée que ce qui est réalisable en égard aux personnes, il est tout aussi vrai qu’il serait peu digne d’un esprit réellement pratique de vouloir une chose quelconque en dehors des conditions naturelles de son existence. Mais, venons au fait. S’il est une vérité, parmi beaucoup d’autres, qui soit sortie, entourée d’une grande évidence, de la sévère expérience des dernières années, c’est assurément celle-ci: il nous a été rudement prouvé qu’on ne saurait imposer aux intelligences une contrainte, une compression trop absolue, trop...
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Часть текста: qui j’avais promis à son départ de Munich que je viendrai le visiter dans son nouvel établissement. Je vous ai écrit, je crois, dans le temps qu’il a été nommé ch d’aff à Weimar, récompense qui lui était bien légitimement dûe et depuis longtemps. Nous nous sommes donc retrouvés ici après 4 mois de séparation, fort heureux de nous revoir. Mais Weimar comme séjour définitif n’est pas précisément ce qu’il y a de plus amusant. C’est une petite ville qui vit sur son passé. Mais ce qui donne une valeur réelle à W comme poste diplomatique, c’est l’individu de la Grande-Duchesse 1 . C’était la première fois que j’avais l’honneur de lui faire ma cour et malgré tout le bien que j’en avais entendu dire, elle a encore surpassé mon attente. On ne saura avoir plus de grâce...
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Часть текста: злополучной статьи. 1 февраля, не дожидаясь окончания ее публикации, Тютчев писал Тиршу: «Вы конечно заметили возмутительную статью в двух последних номерах « Allgemeine Zeitung », извлеченную из «Journal de Smyrne». Признаюсь, это самое грубое оскорбление, которое когда-либо наносилось общественному здравому смыслу. Но так как « Allgemeine Zeitung » сочла нужным перепечатать ее полностью и с известного рода сочувствием, вам надлежит, Милостивый Государь, вам, благородно связавшему свое имя с судьбами Греции, снова взять в свои руки защиту интересов, которые позорно попираются и искажаются. < ... > Общественное мнение изменило бы самому себе, если бы в своих признанных органах не отразило со всей силой негодования подобное оскорбление, нанесенное общественному благоприличию» 26* . Р. Лэйн, впервые опубликовавший письмо Тютчева, а также большой отрывок из депеши Потемкина 72 , пришел к выводу, что между этими текстами существует очевидная стилистическая связь, а в отдельных случаях и конкретные совпадения 27* . Этот вывод, который представляется нам вполне убедительным, означает, что Тютчев принимал самое непосредственное участие в составлении депеши Потемкина, а значит в обсуждении и решении проблем, связанных со статей в Allgemeine Zeitung 73 . Откликнулся ли Тирш на призыв Тютчева, неизвестно. В Allgemeine Zeitung опровержение, которого от него ждали, не появилось (да оно и не могло там появиться). Обследовать же другие германские газеты мы не имели возможности. Во всяком случае, в последующих депешах Потемкина никаких сообщений об опровержении не содержится. Однако дальнейшие события показывают, что этот эпизод имел продолжение. Год спустя два немецких публициста были удостоены внимания со стороны русского императора: каждому из них был пожалован...
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Часть текста: 22 октября En ce moment il n’y a pas d’autres nouvelles à mander de Pétersbourg que des nouvelles de politique générale, tout l’intérêt du public est absorbé par les événements, et, en effet, jamais drame ni roman n’ont reproduit un imbroglio plus palpitant d’intérêt que ce qui se passe en ce moment en Italie. C’est, je crois, la dernière partie de Napoléon III 1* , et il est à peu près sûr qu’il la perdra. Mais je vous renvoie aux journaux. Hier j’ai assisté, sur l’invitation de la cousine Mouravieff qui m’est parvenue par la gazette, aux prières de mort, dites à l’intention de son fils aîné, Nicolas, qui vient de mourir à Berlin. Elle m’a paru suffisamment résignée à son malheur. — Il est certain qu’après la perte de son mari celle-là n’a pas pu l’affecter profondément. Voilà la...
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Часть текста: Pétersbourg. Ce 27 octobre J’ai reçu, cher papa, vos deux dernières lettres et je ne puis vous dire, combien j’ai été touché de la bonté que vous avez eu de prendre soin de notre établissement futur à Moscou. D’autre part, la dépense que vous aviez faite pour nous mettre en possession d’un logement, me contrarie un peu. Car, de la manière dont les choses se sont engagées ici, je ne prévois pas à quelle époque je pourrai m’en aller d’ici. Voici ce qui eusse. J’ai vu la semaine dernière le Vice-Chancelier et l’accueil qu’il m’a fait a de beaucoup surpassé mon attente. Je ne sais si je vous ai écrit que l’année dernière nous avions été en rapports suivis et que plusieurs de mes lettres, relatives aux affaires du jour avaient été mises tant sous ses yeux que sous les yeux de l’Empereur 1 . Aussi après un quart d’heure de conversation sur ce qui avait été le sujet de notre correspondance, il m’a fut obligeamment demandé, si je ne consentirai pas à rentrer au service. Comme j’avais de longue main pour cette question, je lui ai dit que oui et comment j’entendais à y rentrer. Il m’a alors demandé de prolonger mon séjour à Pétersbourg, en me disant qu’il reconnaissait, qu’il y avait quelque chose à faire, qu’il y penserait et que sous peu j’aurai de ses nouvelles. En un mot et pour abréger les écritures que je fais, j’ai été entièrement satisfait de cette entrevue, moins encore dans mon intérêt...